Performance Cumulée depuis création
Performance Cumulée 10 ansPerformance Cumulée 5 ansPerformance Cumulée 3 ansPerformance Cumulée 12 mois
+ 47.6 %
+ 47.0 %
+ 27.3 %
- 0.3 %
+ 9.6 %
Du 15/11/2013
Au 24/04/2024
Performance par Année Civile 2014Performance par Année Civile 2015Performance par Année Civile 2016Performance par Année Civile 2017Performance par Année Civile 2018Performance par Année Civile 2019Performance par Année Civile 2020Performance par Année Civile 2021Performance par Année Civile 2022Performance par Année Civile 2023
+ 9.1 %
+ 0.7 %
+ 5.4 %
+ 2.3 %
- 8.5 %
+ 14.3 %
+ 14.9 %
+ 0.3 %
- 7.4 %
+ 4.7 %
Valeur Liquidative
147.6 $
Actifs Nets
1 326 M €
Marché
Marchés mondiaux
Classification SFDR
Article
8
Au : 28 mars 2024.
Au : 24 avr. 2024.
Les performances passées ne préjugent pas des performancesfutures. Elles sont nettes de frais (hors éventuels frais d’entrée appliqués par le distributeur).Le rendement peut augmenter ou diminuer en raison des fluctuations monétaires, pour les actions qui ne sont pas couvertes contre le risque de change.
Aux États-Unis, les données continuent de montrer une forme de résilience de l’économie avec des chiffres d’inflation qui restent élevés. En revanche, la tendance désinflationniste se poursuit en Europe. Dans ce contexte, la Réserve fédérale et la Banque centrale européenne maintiennent leur cap et devraient initier un mouvement de baisse de leurs taux directeurs dès cet été. La Banque du Japon s’est de son côté démarquée de la tendance : elle a mis fin à huit années de taux d’intérêt négatifs, alors que les signes d’une croissance solide des salaires se multipliaient. Cet environnement de croissance résiliente, inflation persistante et banques centrales plus accommodantes continue d’alimenter le rebond des actifs risqués. Le S&P 500 signe ainsi son meilleur début d’année depuis 2019. Si ce rebond a été principalement alimenté par les Sept Magnifiques, la fin du mois a vu une plus large participation du marché avec un rebond des secteurs cycliques soutenu par la hausse des matières premières. Le pétrole a augmenté de 5%, à 87 dollars le baril (Brent), tandis que l’or atteignait un niveau record, dépassant le seuil des 2 200 dollars. Les marchés actions semblent avoir pris en compte le scénario optimiste selon lequel les banques centrales réduisent les taux d’intérêt et que l’économie connaît un ralentissement modéré, ce qui se traduit par des niveaux de valorisation élevés mais qui sont soutenus par des bénéfices en hausse. La classe d’actifs de crédit continue également de bien se comporter. Les taux européens se sont détendus sur la période alors que le différentiel de croissance entre les États-Unis et la zone euro se maintient.
Commentaire de performance
Le Fonds a terminé le mois de mars en hausse, surperformant son indicateur de référence. La sélection de titres sur les actions a une nouvelle fois porté ses fruits, en particulier dans les secteurs technologique et de la santé, malgré une rotation sectorielle au cours du mois. Nos positions dans les semi-conducteurs ont confirmé leur bonne tenue boursière et continuent de publier d’excellents résultats, renforçant notre thèse d’investissement fondée sur un déséquilibre croissant entre l’offre et la demande dans ce secteur. Par ailleurs, nos expositions aux valeurs aurifères ont été payantes en mars, le métal jaune atteignant des sommets historiques. D’autre part, notre exposition aux actifs de crédit continue de générer une performance stable et positive grâce à l’attrait du portage de cette classe d’actifs. D’un autre côté, notre choix de réduire la sensibilité du portefeuille à un niveau quasi neutre a permis de limiter l’impact de la hausse des taux survenue en cours de mois. En revanche, notre exposition au yen japonais n’a pas été fructueuse, malgré la volonté de la Banque du Japon de sortir de sa politique de taux d’intérêt négatifs.
Perspectives et stratégie d’investissement
Dans les prochains mois, nous anticipons une stabilisation de la croissance mondiale avec un rebond du cycle manufacturier. Cette conjoncture, marquée par une croissance économique mais solide et des politiques monétaires plus accommodantes, devrait continuer à favoriser les actifs risqués. Toutefois, les marchés financiers ayant intégré ce scénario, avec des indices à des niveaux record, une approche sélective et des prises de bénéfices s’avèrent nécessaires. Nous restons positifs sur l’intelligence artificielle et les traitements contre l’obésité, tout en renforçant les secteurs à la traîne et en nous diversifiant, notamment dans l’industrie. Concernant le crédit, le potentiel de performance reste important grâce au portage. Pour les taux souverains, notre exposition aux variations des taux d’intérêt reste limitée, car malgré les signaux de pivot des banques centrales, la solidité des données économiques et inflationnistes recommande la prudence, surtout sur le long terme de la courbe des taux. Enfin, nous sommes optimistes quant aux matières premières, en particulier l’or et le cuivre, qui devraient tirer parti de la reprise graduelle de l’industrie manufacturière, avec des investissements diversifiés en actions, obligations et devises.
La référence à certaines valeurs ou instruments financiers est donnée à titre d’illustration pour mettre en avant certaines valeurs présentes ou qui ont été présentes dans les portefeuilles des Fonds de la gamme Carmignac. Elle n’a pas pour objectif de promouvoir l’investissement en direct dans ces instruments, et ne constitue pas un conseil en investissement. La Société de Gestion n'est pas soumise à l'interdiction d'effectuer des transactions sur ces instruments avant la diffusion de la communication. Les portefeuilles des Fonds Carmignac sont susceptibles de modification à tout moment.
La référence à un classement ou à un prix ne préjuge pas des classements ou des prix futurs de ces OPC ou de la société de gestion.
Carmignac Portfolio est un compartiment de la SICAV Carmignac Portfolio, société d’investissement de droit luxembourgeois conforme à la directive OPCVM.
Les informations présentées ci-dessus ne constituent ni un élément contractuel, ni un conseil en investissement. Les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures. Elles sont nettes de frais (hors éventuels frais d’entrée appliqués par le distributeur), le cas échéant. L’investisseur peut perdre tout ou partie du montant de capital investi, les OPC n’étant pas garantis en capital. L’accès aux produits et services présentés ici peut faire l’objet de restrictions à l’égard de certaines personnes ou de certains pays. Le traitement fiscal dépend de la situation de chacun. Les risques, les frais et la durée de placement recommandée des OPC présentés sont décrits dans les KID (documents d’informations clés) et les prospectus disponibles sur ce site internet. Le KID doit être remis au souscripteur préalablement à la souscription. »
Unsupported browserWe've noticed that your browser is no longer supported. To ensure optimal performance and security while using our website, we recommend updating your browser or other relevant software. Thank you for your understanding!
Environnement de marché
Aux États-Unis, les données continuent de montrer une forme de résilience de l’économie avec des chiffres d’inflation qui restent élevés. En revanche, la tendance désinflationniste se poursuit en Europe. Dans ce contexte, la Réserve fédérale et la Banque centrale européenne maintiennent leur cap et devraient initier un mouvement de baisse de leurs taux directeurs dès cet été. La Banque du Japon s’est de son côté démarquée de la tendance : elle a mis fin à huit années de taux d’intérêt négatifs, alors que les signes d’une croissance solide des salaires se multipliaient. Cet environnement de croissance résiliente, inflation persistante et banques centrales plus accommodantes continue d’alimenter le rebond des actifs risqués. Le S&P 500 signe ainsi son meilleur début d’année depuis 2019. Si ce rebond a été principalement alimenté par les Sept Magnifiques, la fin du mois a vu une plus large participation du marché avec un rebond des secteurs cycliques soutenu par la hausse des matières premières. Le pétrole a augmenté de 5%, à 87 dollars le baril (Brent), tandis que l’or atteignait un niveau record, dépassant le seuil des 2 200 dollars. Les marchés actions semblent avoir pris en compte le scénario optimiste selon lequel les banques centrales réduisent les taux d’intérêt et que l’économie connaît un ralentissement modéré, ce qui se traduit par des niveaux de valorisation élevés mais qui sont soutenus par des bénéfices en hausse. La classe d’actifs de crédit continue également de bien se comporter. Les taux européens se sont détendus sur la période alors que le différentiel de croissance entre les États-Unis et la zone euro se maintient.